Prêtre du diocèse de Metz, je suis détaché de mission paroissiale dans mon diocèse, et je réside à Paris : docteur en droit canonique et en droit (in utroque iure), je suis maître de conférences en droit canonique à l’Institut Catholique de Paris, Vice-Doyen de la Faculté de Droit canonique, ainsi que directeur au Séminaire des Carmes (séminaire universitaire de l’Institut Catholique de Paris). Je suis également juge ecclésiastique pour la Province Ile-de-France.
Les enjeux aujourd’hui sont cruciaux et les chrétiens ont plus que jamais besoin de faire entendre leur voix ! On ne peut ne plus se taire …
A la joie de vous lire dans vos commentaires et dans vos réactions ! A la joie surtout de vous rencontrer et de nous faire avancer.
Père Cédric Burgun
Citations
Aussi un simple Pater, dit avec foi, a plus de puissance pour percer le ciel que le télescope le plus gigantesque. Tout ce qui n’est pas la Prière est illusion (Léon Bloy)
Tant qu’un homme n’a pas découvert quelque chose pour lequel il serait prêt à mourir, il n’est pas à même de vivre (Martin Luther King)
Le ciel se rit des prières qu’on lui adresse pour être préservés de fait dont on n’arrête pas de mettre en place les causes (Bossuet)
Ma vie présente dans la chair, je la vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et s’est livré pour moi (St Paul, Ga 2,20)
In necessariis unitas, in dubiis libertas, in omnibus caritas (St Augustin)
Je suis là où Dieu veut que je sois. Je fais ce que Dieu veut que je fasse : je ne connais d’autre bonheur dans la vie. On peut être saint partout, quand on en a envie (St Claude de la Colombière)
Le propre de la puissance est de protéger (Pascal)
Dieu a créé l’homme comme la mer a formé les continents : en se retirant (Friedrich Hölderlin)
A chaque acte d’amour, il y a donc comme une mort consentie : une nécessaire diminution, un « laissez-passer » qu’on accorde à autre que soi, une douce renonciation (Martin Steffens)
Ce qu’est le prêtre pour moi ? Vivant ou mort, c’est toujours à l’un d’eux que je pense lorsque je désespère de l’homme et que la tentation du mépris me prend à la gorge. Au fond, et sans qu’ils le sachent, les prêtres sont les seuls vrais poètes, les seuls qui aient choisi l’absolu. (François Mauriac)