Prêtre du diocèse de Metz, je suis détaché de mission paroissiale dans mon diocèse, et je réside à Paris : docteur en droit canonique et en droit (in utroque iure), je suis maître de conférences en droit canonique à l’Institut Catholique de Paris, Vice-Doyen de la Faculté de Droit canonique, ainsi que directeur au Séminaire des Carmes (séminaire universitaire de l’Institut Catholique de Paris). Je suis également juge ecclésiastique pour la Province Ile-de-France.
Les enjeux aujourd’hui sont cruciaux et les chrétiens ont plus que jamais besoin de faire entendre leur voix ! On ne peut ne plus se taire …
A la joie de vous lire dans vos commentaires et dans vos réactions ! A la joie surtout de vous rencontrer et de nous faire avancer.
Père Cédric Burgun
Citations
Le propre de la puissance est de protéger (Pascal)
Dieu a créé l’homme comme la mer a formé les continents : en se retirant (Friedrich Hölderlin)
A chaque acte d’amour, il y a donc comme une mort consentie : une nécessaire diminution, un « laissez-passer » qu’on accorde à autre que soi, une douce renonciation (Martin Steffens)
Le monde tourne, la croix demeure (devise des chartreux)
Prier et ne pas avoir envie de se battre, je pense que c’est mal élevé ! (Peguy)
En aucun autre lieu l’homme ne peut mieux se rendre compte de ce qu’il vaut, qu’en se regardant dans le miroir de la croix (St Antoine de Padoue)
Notre pouvoir scientifique a dépassé notre pouvoir spirituel. Nous savons guider des missiles mais nous détournons l’homme de sa voie (Martin Luther King)
L’Europe est un problème de générations. (…) Ce qui est préparé par les aînés n’est valable que si les générations nouvelles y apportent leur enthousiasme (Robert Schuman)
Le mariage est un ordre où il faut faire profession avant le noviciat et s’il fallait faire 1 an de probation avant le mariage, il y aurait peu de profès. (St François de Sales)
Ce qu’est le prêtre pour moi ? Vivant ou mort, c’est toujours à l’un d’eux que je pense lorsque je désespère de l’homme et que la tentation du mépris me prend à la gorge. Au fond, et sans qu’ils le sachent, les prêtres sont les seuls vrais poètes, les seuls qui aient choisi l’absolu. (François Mauriac)